HtmlToText
derniers articles « 127 heures » de danny boyle « toi, moi, les autres » de audrey estrougo « le discours d’un roi » de tom hooper « sex friends » de ivan reitman « tron l’héritage » de joseph kosinski « black swan » de darren aronofsky « rien à déclarer » de dany boon « bienvenue chez les ch’tis » de dany boon « au-delà » de clint eastwood « ramona et beezus » de elizabeth allen articles par catégorie action/thriller (28) autres (19) blockbusters/ gros films. (44) comedies americaines (27) comedies francaises (40) drame (30) films a oublier (27) films d'animations / pour enfants (21) films musicaux (8) grands films (32) horreurs (14) articles par mois mars 2011 février 2011 janvier 2011 décembre 2010 novembre 2010 octobre 2010 septembre 2010 août 2010 juillet 2010 juin 2010 mai 2010 avril 2010 mars 2010 février 2010 inscription aller à: [ recherche ] [ menus ] [ contenu ] [ montrer/cacher plus de contenu ] bienvenue sur mon blog « 127 heures » de danny boyle posté par critiquecinema on 17.mar.2011 pas de commentaires parti pour une randonnée en solitaire dans les gorges de l’utah, aron ralston, jeune alpiniste expérimenté, se retrouve bloqué au fond d’un canyon isolé lorsqu’un rocher s’éboule, lui emprisonnant le bras. pris au piège, menacé de déshydratation et d’hypothermie, il est en proie à des hallucinations avec pour seule compagnie le souvenir des siens. cinq jours plus tard, comprenant que les secours n’arriveront pas, il va devoir prendre la plus grave décision de son existence… après le triomphe de l’excellentissime « slumdog millionaire », reportant pas moins de 4 golden globes et 8 oscars il y a deux ans tout juste, danny boyle signe déjà son retour derrière la caméra, et quel retour ! avec l’adaptation d’une histoire vraie; l’histoire d’un homme, de courage face à son destin, face à ce qui lui arrive. durant 127 heures, le personnage, magnifiquement bien interprêté par james franco, est coincé face à ce rocher, face à lui même et face à ses souvenirs, ses hallucinations, ses envies. le début du film est tout aussi hallucinant au niveau montage qu’il est vraiment très drôle, de manière à s’attacher, très vite, à aron. ce qui est génial dans ce film, c’est ce que nous fait ressentir boyle; en effet, on se retrouverait presque au même niveau que le personnage : enfermé, assoifé, en proie à la peur et la souffrance. et quelle ambiance dans la salle ! je n’ai jamais vu ça. le film, et plus particulièrement les derniers instants, est vraiment difficile à regarder. mais quel bonheur à la fin du film d’avoir autant été retourné par l’univers, l’esthétique, le mélange entre humour et drame, entre un montage très dynamique au départ puis très restreint ensuite. on a vraiment l’impression de vivre ces 127 heures en temps réel et boyle n’oublie rien : la soif, la faim, la fatalité, la relativisation, la prise de conscience, le manque, la mondialisation, la solitude. en bref, « 127 heures » n’égal en rien « slumdog millionaire » mais il est un choc et une excellente surprise de ce début d »année. pour voir la bande annonce, cliquez ici ! publié dans drame , grands films . « toi, moi, les autres » de audrey estrougo posté par critiquecinema on 17.mar.2011 pas de commentaires gab a une vie rangée : une fiancée, un mariage en préparation, une famille aisée. leïla ne s’autorise pas à vivre la sienne : des études de droit, un petit frère turbulent, une maman partie trop tôt… alors lorsque gab renverse le petit frère de leïla, c’est le choc des mondes et le début d’une grande histoire d’amour qui va se heurter violemment à la réalité. tina, la plus proche confidente de leïla est sans papiers, sous la menace d’une reconduite à la frontière et se fait arrêter. alors que le monde de leïla s’effondre, gab est prêt à tout pour elle, même à s’opposer à son père, préfet de police. et qui a dit que rien n’était impossible tant qu’on a de l’amour ?… la comédie est un genre très courant pour traiter du racisme en france ( « il reste du jambon? », « neuilly sa mère » par exemple) mais la comédie musicale beaucoup moins. aux usa nous avons eu droit au très bon « hairspray » en 2007 avec un vrai univers, une vraie dynamique et du côté francais, « agathe cléry » qui fut un echec critique. c’est dire que d’avoir eu l’ambition de vouloir faire une comédie musicale, à la française, c’est-à-dire, comme on ne sait pas trop faire (par rapport à nos amis americains) était plutôt casse gueule. dans « toi, moi, les autres », il est vrai que ça ne vole pas haut, c’est décousu et la scénario est vraiment nunuche pour donner un pretexte afin de dénoncer nos problèmes actuelles (pour cette part, c’est assez réussi). il est toujours très interressant, comme pour mamma mia ! de voir comment des chansons connus ont étés inserrés dans un film. en plus, nos acteurs chantent très bien et c’est une joie de retrouver leila bekhti après « tout ce qui brille » et le jeune benjamin siksou qui signe son premier grand rôle principal. en bref, « toi, moi, les autres » est assez décevant mais dégage tout de même une très bonne énergie. pour voir la bande annonce, cliquez ici ! publié dans comedies francaises , films musicaux . « le discours d’un roi » de tom hooper posté par critiquecinema on 19.fév.2011 pas de commentaires d’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle reine elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le roi george vi (colin firth), suite à l’abdication de son frère edouard viii (guy pearce). d’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, george vi tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme (helena bonham carter) et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage (geoffrey rush) aux méthodes peu conventionnelles. il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’allemagne nazie. déjà un grand succés au etats-unis, « the king’s speech » crée la surprise en france. tom hooper nous livre un film veritablement bouleversant; les interpretations de geoffrey rush, helena bonham carten et surtout de colin firth méritent amplement les oscars. (on croise les doigts pour eux). le scénario est parfait, la photographie, magnifique. c’est un film remplit de beaucoup d’humanité, d’envie qu’il ne faut absolument pas rater. tom hooper et son équipe meritent les honneurs. pour voir la bande annonce, cliquez ici ! publié dans autres , grands films . « sex friends » de ivan reitman posté par critiquecinema on 18.fév.2011 pas de commentaires entre « sex friends », il faut respecter quelques règles de base : ne jamais s’offrir de cadeaux. ne pas dîner en tête à tête. accepter la concurrence. oublier le mot « chéri(e) ». toujours partir avant le petit-déjeuner. et surtout, ne jamais tomber amoureux ! est-ce bien clair pour emma et adam ? après les « toy boy », « kiss & kill », ashton kutcher ne cesse de s’exprimer dans la comédie romantique et plus particulièrement dans des films brouillons tel que celui-ci. il joue toujours le même personnage et la présence de natalie portman sauve un peu le tout; sans dire que le jeu de kutcher est mauvais, au contraire; il faudrait plutôt critiquer le scénario. la bande annonce, qui est plus réussie que le film, nous donnait veritablement envie de se détendre; or l’ennui arrive très vite et le film a beaucoup de maladresses. natalie portman, après son incroyable prestation dans « black swan » fascine et s’en sort vraiment très bien dans la comédie. ses fans et ceux de kutcher seront sans doute sous le charme de ce film sans relief. publié dans comedies americaines . « tron l’héritage » de joseph kosinski posté par critiquecinema on 12.fév.2011 pas de commentaires sam flynn, 27 ans, est le fils expert en technologie de kevin flynn. cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, il se retrouve aspiré dans ce même monde de programmes redoutables et de jeux mortels